Ce jour-là, au pied de l’arc-en-ciel de ton Absence,
Ta silhouette, ta voix, ton nom, ta présence…
Tout portait l’éclat aveuglant du rayon d’évidence,
Un cri déchirant le silence immense,
Une vérité chassant la morne ignorance,
Un soleil me guidant hors de mes anciennes errances
Un onguent effaçant mes plus intimes cicatrices...
Et mon être tout entier soudain devinait les délices du calice,
Les douceurs innombrables de la corne d’abondance.
Ce jour-là, Frédérique, tu n’étais pas encore entrée dans mon existence
Que déjà je ne voulais plus jamais t’en voir sortir.
Trendance
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1 commentaire:
Mon cher mari ou l'art de susciter un frisson...C'est réellement magique d'avoir le privilège de te lire, mais d'en être la destinataire est encore autre chose! Ce que tu as écrit est superbe, comme d'habitude...Je pense être tout à fait connectée sur le même fil...Moi aussi, mon amour!
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